Micro-défi #2 - SAVOIR-AGIR avec … EMPATHIE

🎯 SAVOIR-AGIR avec … EMPATHIE

Cette semaine relevez le défi en faisant ceci …

➊ Examinez votre attitude et évitez de porter un jugement hâtif

➋ Cherchez à comprendre plutôt que chercher d’abord à être compris

➌ Mettez de côté votre point de vue, et essayez de voir les choses du point de vue de l'autre personne

➍ Démontrez votre intérêt sincère à comprendre et dans le doute, demandez à la personne d'expliquer sa situation

➎ Validez votre compréhension en paraphrasant, reformulant, etc…

Développer l’empathie requiert un effort soutenu ainsi que la conviction qu’elle contribuera à l’amélioration de vos compétences relationnelles.

🧰 Il n'y a jamais de mauvais moment pour développer vos «Savoir-Agirs» professionnels. Chaque micro-défi vous aide à améliorer une compétence-clé en suggérant des petites tâches / étapes quotidiennes comme leviers à l’action.

Bon Succès!

Lire la suite

Annonce de la publication de mon livre ‘’Conquérir l’efficacité : Le Savoir-Agir essentiel à la réussite professionnelle’’

livre.PNG

C’est avec émoi et fébrilité que j’ai le plaisir d’annoncer la publication de mon livre ‘’Conquérir l’efficacité : Le Savoir-Agir essentiel à la réussite professionnelle’’ publié par Septembre éditeur.
Ce livre est le fruit de près de vingt ans de formations en milieu de travail. Il est pensé pour les gens soucieux de leur progression professionnelle, qui sont en quête de solutions et qui souhaitent réaliser pleinement leur potentiel, sur le plan tant personnel que professionnel.

Conquérir l’efficacité … À vos marques, prêts, partez!

Lire la suite

Tips & Co. #383 - When coworkers speak loudly

In an open space environment, when your coworkers speak loudly it is useless to suffer silently, but none the less, do not flare up shouting “Can you shut-up?”.Bring up the issue tactfully, and try to ask nicely:
  • “Could you please lower your voice?”
  • “Please, make a little bit less noise. I know you probably don’t realize it but it is really disturbing”
  • “I have trouble focusing while you are talking. I’d really appreciate if you could talk a bit further away”

… Usually, people do not realize how loud they speak, so they will probably appreciate an amiable reminder. Do it with a smile and it is almost certain that no one would be offended. Be direct and tactful, but never attack personally.
Lire la suite

Trucs & Astuces #383 - Lorsque les collègues parlent fort


Dans un environnement à aire ouverte, lorsque vos collègues parlent fort, inutile de souffrir en silence mais ne vous emportez pas pour autant en criant « Pouvez-vous enfin vous taire? ».

Soulevez le problème avec tact et essayez de demander gentiment :
  • « Pourriez-vous baisser d’un ton s’il vous plait? »
  • « S’il vous plait, faites un peu moins de bruit. Je sais que vous ne réalisez probablement pas mais c’est vraiment gênant ».
  • « J’ai du mal à me concentrer pendant que vous parlez. J’apprécierais vraiment si vous pouviez aller discuter un peu plus loin ».
… La plupart du temps, les gens ne réalisent pas à quel point ils parlent fort, ils apprécieront donc probablement un rappel aimable. Faites-le avec un sourire et c’est presque certain que personne ne se sentira offensé. Soyez direct et diplomatique, mais n’attaquez jamais personnellement.

👉️  Pour en savoir plus consultez notre article « Comment survivre à un environnement de travail à aire ouverte » : https://solutionsandco.com/blogue/comment-survivre-a-un-environnement-de-travail-a-aire-ouverte

Lire la suite

Entrevue | RADIO CANADA International | Catégories Société

Entrevue_RadioCanada.jpg

Hier, je me suis entretenue avec Alice Chantal Tchandem Kamgang sur les ondes de Radio-Canada International. Nous avons discuté du lancement de mon livre « 𝘾𝙤𝙣𝙦𝙪é𝙧𝙞𝙧 𝙡’𝙚𝙛𝙛𝙞𝙘𝙖𝙘𝙞𝙩é », prévu pour demain le 8 janvier, et démystifié les compétences relationnelles et les «𝗦𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿-𝗔𝗴𝗶𝗿» professionnels. Si vous n’avez pas eu la chance d’écouter l’entrevue, elle est disponible ici:

📰 Lire l’article : https://lnkd.in/eqe6yes

🎧 Écouter l’entrevue : https://lnkd.in/eiNADYq

Je suis toujours contente d’avoir l’opportunité de parler de «𝗦𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿-𝗔𝗴𝗶𝗿» professionnels.

 

Lire la suite

Micro-défi #1 : SAVOIR-AGIR avec … AGILITÉ

🎯 SAVOIR-AGIR avec … AGILITÉ

Relevez le défi en faisant ceci …

➊ Soyez plus tolérant face à l’incertitude et à l’ambigüité

➋ Renoncez à tout vouloir contrôler et acceptez de vous remettre en question

➌ Faites-vous confiance même dans l’adversité

➍ Répondez au changement de manière positive

➎ Explorez des nouveaux concepts et des nouvelles idées

L’agilité est avant tout un état d’esprit, qui nous permet d’ajuster nos actions, comportements et décisions en fonction de la situation ou de nos interlocuteurs.

🧰 Il n'y a jamais de mauvais moment pour développer vos «Savoir-Agirs» professionnels. Chaque micro-défi vous aide à améliorer une compétence-clé en suggérant des petites tâches / étapes quotidiennes comme leviers à l’action.

Bon Succès!

Lire la suite

LE PERSONNEL DE PREMIÈRE LIGNE… Avons-nous abandonné nos soldats sur le front?

Des soldats ? Euuuh… Sur le front ? Quoi ? Dans mon rôle de formatrice en compétences relationnelles, j’ai rencontré des milliers de travailleurs qui viennent apprendre les compétences nécessaires pour affronter la réalité quotidienne des milieux de travail sans y perdre leurs plumes! Ils recherchent les outils leur permettant d’optimiser leurs « Savoir-Agir » professionnels… Souvent, ce sont des professionnels dans leur « Savoir » excellents dans leur « Savoir-Faire » …Mais qui doivent encore découvrir l’utilité des « Savoir-Être » et des « Savoir-Vivre ». Afin d’assurer leur efficacité, il faut non seulement les entraîner à la tâche, mais aussi leur permettre d’acquérir les compétences relationnelles.

Ici, je parle de Soft Skills

À quoi bon connaître ses produits sur le bout des doigts si on ne sait pas les valoriser avec assurance ?

À quoi bon avoir un comptoir de service à la clientèle si la personne derrière ce comptoir ne sait pas gérer ses propres émotions, faire preuve d’empathie, comprendre le client et gérer une plainte ?

À quoi bon avoir le meilleur produit au monde si on ne sait pas faire preuve de professionnalisme?

Ce ne sont pas des caricatures, croyez-moi ! Ces situations, on les rencontre au quotidien.

Le personnel de première ligne est quotidiennement en contact direct avec le client : c’est une opportunité qui n’est pas offerte aux autres membres de l’organisation.

Ils ont l’occasion d’interagir avec le client, de promouvoir et de représenter l’organisation.Et chaque fois, je me pose la même question : pourquoi attend-on si longtemps avant d’enseigner à ces « soldats » la façon de manier les outils de survie nécessaires avant de les envoyer sur le front ?

Aucun général qui se respecte ne penserait recueillir des gens dans la rue pour les envoyer au front, les abandonner à eux-mêmes et croire qu’ils pourraient quand même gagner la bataille ! J’utilise cette analogie dans le but de visualiser ce qui arrive communément dans nos organisations : on embauche quelqu’un, simplement parce qu’il sait s’acquitter de la tâche, mais sans s’assurer qu’il possède la volonté d’adhérer à la mission, sans se préoccuper de sa capacité d’interagir efficacement avec les clients ou les collègues, ni de sa capacité à gérer les situations stressantes, à régler des conflits ou, tout simplement, à connaître les avantages de l’écoute active.

La façon dont l’organisation est représentée par le personnel de première ligne détermine le niveau de satisfaction de la clientèle. Une approche positive du personnel de première ligne permet de développer une relation à long terme avec votre clientèle et de la sécuriser.

Quels moyens seraient, selon vous, les plus efficaces pour bâtir une relation satisfaisante avec votre clientèle ? Une lettre de remerciement automatiquement envoyée par votre CRM afin de remercier le client de son achat, ou plutôt un accueil chaleureux à la réception, une attention particulière du commis ou un sourire sincère du livreur ? Évidemment, une interaction humaine et personnelle a un impact bien plus grand, non ?!

Imaginez la différence que cela pourrait faire si l’on donnait, à chaque employé de première ligne, la possibilité et la capacité de désamorcer les insatisfactions du client, l’opportunité de gérer les priorités efficacement, d’avoir les habiletés nécessaires pour travailler en collaboration et communiquer convenablement. L’efficacité de l’organisation croitrait de façon exponentielle.

Le titre de cet article peut sembler un peu pessimiste (voire exagéré pour certains), mais « les soldats abandonnés sur le front » symbolise tous ces employés de première ligne qui sont laissés à eux-mêmes, sans vision, sans soutien, sans formation extrinsèque à la tâche, sans encouragement, sans encadrement… Abandonnés dans les tranchées dans un moment crucial – le moment de vérité, le moment du développement d’une relation de confiance, le moment propice à la fidélisation du client !

Au cœur de nos organisations, il existe un écart flagrant entre l’investissement en développement des compétences pour les gestionnaires et celui pour les employés de première ligne. Il y a plus de formations en leadership et en gestion que jamais auparavant ! Même si la formation des gestionnaires est importante, à mon avis la formation de tous les travailleurs est indispensable pour faire face à des milieux de travail en constante évolution.

Pour chaque vision d’un gestionnaire, il y a des dizaines (voire des centaines) d’employés qui doivent y apporter une continuité. Pour que cela soit possible, il faut avant tout outiller ces travailleurs afin qu’ils puissent s’approprier cette vision et contribuer quotidiennement à l’atteinte des objectifs organisationnels.

Je crois fervemment que ces employés sont, et resteront l’actif le plus important dans les organisations désirant améliorer leur productivité et leur compétitivité. J’ai la conviction que leur capacité relationnelle ne pourra jamais être remplacée par des logiciels, et qu’ils valent amplement nos investissements ainsi que notre respect.

Chaque rôle dans l’organisation est important. Pourtant, les employés de première ligne sont perçus comme étant au bas de l’échelle des organisations ; ils sont souvent mal rémunérés et définitivement mal outillés. Il faut donner aux employés de première ligne l’importance qu’ils méritent, le titre d’ambassadeur de l’organisation, pour ainsi la représenter avec compétence et professionnalisme auprès des clients. Car c’est à eux que nous faisons confiance pour s’occuper de nos clients, pour répondre à une plainte ou pour combler un besoin. Le succès de l’organisation repose ainsi sur leurs épaules…

En ce début d’année, je vous encourage à prendre du recul et à répondre avec sincérité : les avons-nous abandonnés sur le front ou les avons-nous outillés pour triompher ?
Lire la suite

Front-Line Personnel – Have we abandoned our soldiers on the Front?

Soldiers? Uuuh… On the front? What? As a soft skills trainer, I have encountered thousands of workers who come to learn the skills needed to face the daily workplace reality without losing their marbles. They are looking for tools to optimize their professional “know how to act” … Most of the time, they are professional in their “knowledge”, excelling in their “know how” …But they still need to learn the value of “knowing how to be” and “knowing how to interact”. To ensure their effectiveness, they must be hard-skilled, but also soft skilled.

What good is it to know your products inside out if you can’t present them with confidence?

What good is it to have a customer service if the person behind the counter doesn’t know how to manage their emotions, to show some empathy, to understand the customers and to manage a complaint?

What good is it to have the world best product if you can’t show any professionalism?

Believe me, those are not caricatural! These situations are seen every day.

Front-line workers are in touch with customers on a daily basis: they have an opportunity that other members of the organization don’t. They interact with the customer, promote and represent the organization.

And every time, I ask myself the same question: Why do people wait so long before teaching these “soldiers” how to use the essential survival tools before sending them to the Front?

No self-respecting general would pick people off the street and send them to the Front, left to their own devices, and think they still have a chance to win the battle! This is only a metaphor used to show you what often happens in our businesses: people are hired only because they can fulfill a task; but without ensuring that they are willing to embrace the mission and the corporate culture, with no concern for their ability to interact with customers or coworkers, nor for their ability to manage stressful situations, to solve conflicts, or simply to be aware of the benefits of active listening.

The way your front-line staff represents your business sets your customers satisfaction level. A positive approach to the front-line team allows you to develop and secure a long-term relationship with your customers.

In your opinion, what would be the most effective way to build a satisfactory relationship with your customers? An automated thank you note from your CRM in order to thank the customer for their business? Or a warm greeting at the reception desk? A personal attention from the clerk? Or a genuine smile from the deliverer? Obviously, a human and personal interaction has a much greater impact, doesn’t it?

Imagine what a difference it could make if we gave every front-line worker the possibility and ability to solve customers’ dissatisfactions, the opportunity to manage their priorities effectively, to gain the skills needed to adequately cooperate and communicate. Business performance would increase exponentially.

This article’s title might seem a tad bit pessimistic (even far-fetched for some), but soldiers Abandoned on the Front! Illustrates how all the front-line employees are left to their own devices, with no vision, no support, no training beyond their immediate duties, no encouragement, no coaching… Abandoned at a crucial time – the moment of truth, the moment where a trustworthy relationship can be developed, the moment where the customer’s loyalty  can be secured! There are more leadership and management trainings than ever before! Even if managers training is important, I think training the workforce is mandatory in order to cope with a constantly changing work environment.

For every manager’s vision, there are tens (even hundreds) of employees who must provide continuity. For it to be possible, it is first of all necessary to equip those workers so they can assimilate this vision and contribute daily to the organizational objectives’ achievement.

I strongly believe that these employees are and will remain the most important asset of any organization wishing to increase its productivity and competitiveness. I am convinced that their soft skills can never be replaced with software, and that they are worthy of our investments as well as our respect.

Every position is important. However, front-line employees are often seen as the bottom tier within the organization; they usually earn insufficient wages and are insufficiently equipped. Front-line employees are important, they deserve the title of the organization’s ambassador, in order to skillfully and professionally represent it before the customers. Because we entrust them to take care of our customers, of a complaint, or a need. The organization’ success thus rests on their shoulders…

As the new year begins, I want to encourage you to step back, think, and answer with sincerity the following: Have we abandoned them on the Front, or have we equipped them with the needed tools to win?
Lire la suite

Faites de la place pour du nouveau

Le_carnet_dAlessandra_2.png


C’est une nouvelle année!

C'est le moment idéal pour nettoyer les débris de l'ancienne année et faire de la place pour de la nouveauté.

Se libérer du vieux, du désuet, du désordre … est une méthode puissante de changement.

Mais ce n’est pas facile car :

✔Cela nous oblige à faire des choix

✔Cela nous rappelle des choses que nous n'avons pas réussi à faire

✔Ça prend du temps

✔Cela peut sembler accablant

Mais … Une fois que vous commencez à désencombrer :

✔vos esprits seront revitalisés;

✔vous libèrerez de l'énergie positive et

✔ressentirez une sensation de légèreté.

Commencer une nouvelle vie signifie faire table rase - laisser aller les choses, les gens et le désordre mental dont vous ne voulez plus… et laisser de la place pour des choses de plus grande valeur à vos yeux.

Accrochez-vous à tout ce qui vous nourrit, vous soutient, est beau, significatif.

Débarrassez-vous de tout ce que vous n'aimez pas, des choses sans signification, des choses « dont vous pourriez avoir besoin un jour» .

Commencez lentement … une tâche, un changement à la fois … Cela deviendra bientôt une habitude que vous attendrez avec impatience.

Lire la suite

Trucs & Astuces #382 - Est-ce que le client a toujours raison?

Le client n’a pas toujours raison… Évidemment, vous pouvez prouver votre point, et même avoir le dernier mot. Peut-être même avez-vous raison. Pourtant, tort ou raison, vos efforts seront vains : Il est impossible de gagner une dispute avec un client.


Votre objectif est d’acquérir, conserver et accroître une clientèle fidèle, pas d'avoir raison. Si vous gagnez la dispute, vous risquez de détériorer la relation avec le client. Que votre organisation soit privée ou publique, cela est toujours un résultat PERDANT pour VOUS.


Le client n’a pas toujours raison… Mais il reste quand même le client. On se doit de trouver une solution équitable afin de répondre à ses requêtes tout en respectant les besoins de l’organisation!

Lire la suite

Tips & Co. #382 - Is the customer always right?

The customer is not always right… Evidently, you could make your point, even have the last word. You might even be right. However, right or wrong, your effort will be in vain: It is not possible to win an argument with a customer.

Your goal is to acquire, maintain, and increase a loyal clientele, not to be right. If you win the argument, you might damage your relationship with the customer. Whether your organization is private or public, it is always a LOSING outcome for YOU.

The customer isn’t always right but he is the customer. We have to find a fair solution that answers his requests while respecting the needs of the organization!

Lire la suite

Panel organisé par la CCI du Sud-Ouest en collaboration avec PME MTL

Paneliste.PNG

Comment assurer la rétention, l’attraction et le développement du Capital Humain dans une période en pénurie de main-d’œuvre? Les échanges ont ressorti toutes sortes de suggestions, de la marque d’employeur, à la culture d’entreprise, au leadership participatif … passant par l’ADN et l’âme de l’organisation.

Cet avant-midi j’ai été invitée au panel organisé par la Chambre de Commerce et d'industrie du Sud-Ouest en collaboration avec PME MTL. Le thème était le Capital Humain. Un sujet fascinant, plein de nuances et d’inquiétudes pour nos organisations…

Lire la suite

Tips & Co. #381 - Celebrate your victories and reframe your defeats

It's the end of the year: whether good or bad, satisfying or disappointing, it's time to look back on the year we leave behind.

Resilience means being able to see failures as lessons and opportunities for improvement. As Thomas Edison once said about the invention of the light bulb, “I have not failed. I simply found 10,000 solutions that did not work.”

Knowing how to accept your failures as easily as your successes is a sign of a deep-rooted self-confidence, the kind of self-assurance that will not be eroded by setbacks and will be able to inspire you to persevere in the face of adversity.

Your failures are whispers telling you to try again and they serve as benchmarks for the rest of your journey. They help you know which paths to avoid in the future and allow you to turn back and go in the right direction.

Reframe these failures so that you may make changes and come out stronger than before.

When you look at a situation from a different angle, you can see many opportunities for success, growth and development.

What a great opportunity to start over and begin the new year with strength, character, verve and conviction.

Lire la suite

Trucs & Astuces #381 - Célébrez vos victoires et recadrez vos défaites

C’est la fin de l’année, bonne ou mauvaise, satisfaisante ou décevante, c’est le temps de faire une rétrospective sur l’année qui vient de s’écouler. 

Faire preuve de résilience, c’est être en mesure de voir les échecs comme des leçons et des opportunités d'amélioration. Comme l'a dit Thomas Edison à propos de l'invention de l'ampoule électrique, «Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10.000 solutions qui ne fonctionnaient pas. »

Savoir accepter vos échecs aussi facilement que vos victoires est un signe d’une confiance en soi bien ancrée - le genre d’assurance qui ne sera pas érodée par les revers, et qui vous incitera à persévérer dans l’adversité.

Vos échecs sont des chuchotements vous disant d'essayer à nouveau, ils servent de repères pour le reste de votre parcours. Ils vous aident à savoir quels chemins éviter à l'avenir, et ils sont ceux qui vous permettent de rebrousser chemin et d’aller dans la bonne direction.

Recadrez ces échecs d’une manière qui vous autorise à faire des changements et en sortir plus fort qu'auparavant.

Quand vous regardez une situation sous un angle différent, vous pouvez voir de nombreuses possibilités de réussite, de croissance et de développement.

Quelle belle occasion de remettre son cadran à zéro afin de recommencer la nouvelle année avec force, caractère, brio et conviction.
Lire la suite

Trucs & Astuces #380 - Une autre façon de générer des idées créatives lors d'un remue-méninges

Le mois dernier nous avons vu le "remue-méninges inversé" comme une autre manière de générer des idées et apporter une solution créative aux problèmes. Voici une autre approche pour pousser vos sessions de remue-méninges traditionnelles un peu plus loin :

L'approche "Oui, et..."

Une méthode pour inciter des remue-méninges créatifs est d'essayer une technique utilisée en improvisation théâtrale : "Oui, et...".

L'approche encourage les personnes à collaborer et construire à partir des idées des autres, d'abord en approuvant, puis en ajoutant quelque chose à la discussion en répondant "oui, et nous pouvons aussi...".

Enlever le "non" de la table fait en sorte que toutes les idées sont entendues et évite que l'énergie de l'équipe ne baisse.

Lire la suite

Tips & Co. #380 - One more way to generate creative ideas when Brainstorming

Last month we saw the Reverse brainstorming as an additional way to generate ideas, and to come up with a creative solution to problems. Here is another approach to push your traditional brainstorming sessions a little further:

“Yes, And…” Approach

One method for inciting creative brainstorming is trying a technique used in improvisational theater: “Yes, and…”.

The approach encourages people to collaborate and build on everyone else’s ideas by first agreeing and then adding something to the discussion by replying “yes, and we can also…”.

Taking “no” off the table ensures all ideas are heard and avoids draining the team’s energy.

Lire la suite

Le tatouage au travail : Est-ce encore un tabou?

Le tatouage, jadis associé à la rébellion, la criminalité, la délinquance, l’appartenance à un gang et le machisme, est devenu un phénomène contemporain d’affirmation de son identité et d’expression de sa personnalité. D’ailleurs, selon un sondage Ipsos Reid, près d’un Canadien sur quatre est tatoué.

Cependant, malgré une certaine démocratisation et déhiérarchisation, le tatouage peut encore avoir des connotations négatives et provoquer de la discrimination et des préjugés dans certains milieux de travail.

Les droits de chacun s’entrecroisent

Selon la Charte québécoise des droits et libertés, toute personne a droit à la liberté d’expression, ce qui inclut maintenant les tatouages et votre employeur ne peut vous demander de les cacher, sauf si l’image est considérée comme haineuse ou offensante. Mais l’organisation peut avoir préséance sur vos droits dans certains cas. L'employeur peut apporter des restrictions ou des interdictions sur la tenue vestimentaire ou l’apparence si elle porte atteinte à l'image et à la réputation de l'organisation (tatouage, piercing, etc…) ou la santé et la sécurité du travail (barbe, bijoux, etc…) au moyen de directives ou d’un contrat de travail. Tel droit doit être exercé prudemment afin de rédiger une politique claire, de caractère raisonnable et non arbitraire qui spécifie les restrictions qu’il souhaite imposer sans être discriminantes.

Il est conseillé de prendre connaissance de tout règlement, politique, contrat ou manuels d’éthique stipulant ce sujet dans votre organisation. Aller à l’encontre de ces règles devient un manquement à une condition de l’emploi.

Les premières impressions 

Mais au-delà de la loi, il y a le facteur humain… Dès les premiers moments d’une nouvelle rencontre, le cerveau traite une grande quantité de signaux, de ce que la personne dit (langage verbal) à la posture, l’apparence, la gestuelle, la démarche (langage non-verbal) au volume, la prononciation, le débit, le ton (langage para-verbal) et en fait une interprétation globale – une première impression.

Un groupe de travail de l’université de Princeton énonce qu’il suffit de seulement cent millisecondes pour formuler un jugement ferme et définitif sur quelqu’un. Et il suffit d’un dixième de seconde pour décider si une personne est attirante, fiable, sympathique et même… compétente. Un tatouage, au même titre qu'une coiffure, qu'un maquillage ou une tenue, est un indice non-verbal qui contribue à cette première impression.

Nicholas Rule, chercheur de l'université de Toronto affirme que "Nous jugeons les livres par leurs couvertures, et nous ne pouvons pas nous empêcher de le faire". Ce comportement humain remonte au début des temps. Pour assurer sa survie, l’homme préhistorique devait rapidement décider si ce qui était devant lui était un ami ou un ennemi; s’il devait fuir ou attaquer. Ce réflexe est enfoui dans notre cerveau reptilien et est omniprésent dans nos réactions instinctives. Il s’agit d’un processus inconscient souvent conditionné par notre mémoire ou notre éducation. Cette première impression est naturelle, inévitable et indélébile!

Négliger ce questionnement et ne pas s’y adapter ne fait que diminuer votre crédibilité et votre influence à leurs yeux.  Et si l’impression que vous donnez n’est pas en syntonie à laquelle ils s’attendaient… même si vous assumez pleinement vos tatous, interagir avec eux deviendra plus difficile, moins fluide, plein de distorsions et de mauvaises interprétations pouvant générer des malentendus... Et malheureusement, c’est vous qui en subirez les conséquences.

À chaque culture ses codes

Le tatouage n'est pas nécessairement compatible avec toutes les professions et domaines d'activité et, selon la profession ou le métier que vous souhaitez exercer, les tatouages seront plus ou moins tolérés, acceptés, appréciés voire admirés.

Certains secteurs d’activité sont plus ouverts et valorisent la créativité et l’expression personnelle, tandis que certains milieux professionnels sont plus formels, et souhaitent transmettre une image de rigueur, d’objectivité, de confiance par une présentation soignée et sobre. Dans ces cas le tatouage se doit d'être plus... discret - pour respecter la neutralité et la formalité qui pourrait être exigée par l’organisation.

En matière de tatouage, l’image corporative doit être un élément clé à considérer. Il faut faire preuve de discernement, tout dépend du contexte et du type d’emploi. Il est nécessaire de comprendre la culture de l’organisation (ses règles implicites), sa philosophie (ses valeurs), la nature de l’emploi… Et surtout, avec qui vous serez en contact!

C’est une question d’interprétation

Votre apparence est un indicateur de votre jugement et inspire (ou pas) confiance en vos habiletés et à votre rôle. Ces interprétations ne sont ni correctes ni incorrectes, il n’y a pas de pour ou contre, de bon ou mauvais, de légal ou illégal, de juste ou pas juste, mais seulement une congruence ou une incongruence avec le message que vous voulez transmettre à celui à qui vous souhaitez offrir des produits ou services.  

Nos clients proviennent de milieux divers et leurs perceptions, leur raisonnement, leurs valeurs et leur style varient en fonction de leurs interprétations. Le tatouage, puisque vecteur de messages très personnels, peut encore, pour certains, avoir des connotations négatives et être interprété comme un indicateur de manque de professionnalisme et de sérieux ou d’anticonformisme et ainsi projeter une image divergente de celle que vous souhaitez véhiculer.

Il est tout à fait légal et correct d’avoir des tatous. On est libre de s’exprimer comme on veut. Mais on ne peut s’attendre à ce que tout le monde l’accepte de la même manière. 

Lire la suite

Tattoos in the Work Place: is it Still a Taboo Topic?

Tattoos, once associated with rebellion, crimes, delinquency, gang membership, and machismo, has now become a modern phenomenon of self affirmation and expression. Incidentally, according to an Ipsos Reid survey, close to one in four Canadians is tattooed.

However, despite some democratization and hierarchies flattening, tattoos can still carry some derogatory overtones and can induce discriminations and prejudices in some work environments.

The rights of all individuals intertwined with one another

According to the Quebec Charter of Human Rights and Freedoms, each individual has a right to a freedom of expression, which now includes tattoos, and your employer can not ask you to hide them, unless the object of the tattoo itself is considered hateful or offensive. Although, in some cases the organization could prevail over your rights. The employer can impose restrictions or prohibitions regarding the dress code or someone’s look if it causes any damages to the organization’s image and reputation (tattoos, piercings, etc.), or if it causes any work’s health and safety issues (beards, jewellery, etc.) by means of directives or a work contract. Such right must be exercised cautiously in order to draw up a clear, reasonable, and fair policy stating any restrictions the organization would see enforced without being discriminatory.

It is recommended to have yourself acquainted with any rule, policy, contract, or ethic guides mentioning this topic in your organization. Going against those rules becomes a breach of an employment condition.

 

First impressions

But beyond the law, there is the human factor… from a new encounter’s very first moments, the brain is processing a large quantity of signals, from what the person is saying (verbal communication) to the posture, the appearance, the gestures, the gait (non verbal communication) and to the volume, the pronunciation, the speed, and the tone (para verbal communication), and makes a general interpretation – a first impression.

A study group from Princeton University states that only one hundred milliseconds are required to form a firm and final judgment about someone. And only one tenth of a second to decide if a person is attractive, reliable, amicable, and even … qualified. A tattoo, just like a hairstyle, a makeup, or an outfit, is a non verbal clue contributing to the first impression.

 "We judge books by their covers, and we can't help but do it," says Nicholas Rule, researcher of the University of Toronto” This human behavior can be traced back to the beginning of times. To ensure its survival, the prehistoric man had to quickly decide if what was in front of him was a friend or an enemy; if he had to fight or flight. This reflex is buried in our reptilian brain and is ubiquitous in our instinctive reaction. It is an oblivious process, often conditioned by our memory or our upbringing. This first impression is natural, inevitable, and indelible!

Overlooking this process and not adapting to it only diminishes your credibility and your influence to their eyes. And if the impressions you give off is not in tune / harmony with the one they were expecting… even if you wear your tattoos with pride, interacting with employers will become more difficult, bumpier, full of distortions and misinterpretations which may cause misunderstandings … And unfortunately, you will be suffering the consequences.

To each culture its codes

Tattoos are not necessarily compatible with all professions and fields of work, and depending on the career or occupation you wish to have, tattoos will be more or less tolerated, accepted, appreciated perhaps even admired.

Some field of expertise are more open minded and value the creativity and the self expression, while some are more formal, and want to give off a more rigorous image of impartiality, confidence by means of a fitting and polished appearance. In those cases, a tattoo must be more … discreet – in order to respect the neutrality and formality required by the organization.

In terms of tattoos, corporate image must be a key element to consider. One should show some caution, all depending on the kind of employment and the context. It is essential to understand the organization’s culture (its implied rules), its philosophy (its values), the nature of the job… And above of all whom will you be in contact with!

It’s a matter of interpretation

Your appearance is an indicator of your judgement and inspires (or not) confidence in your abilities and your role. Those interpretations are neither correct nor incorrect, there is no for or against, bad or good, legal or illegal, fair or unfair, but only a congruity or incongruity with the message that you want to deliver to whom you are offering products or services to.

Our clients come from various environments and their perceptions, reasoning, values and style vary depending their interpretations. Tattoos, being a medium of really personal messages, can still, for some, have a negative ring and be interpreted as an indicator of a lack of professionalism and conscientiousness, or as non-conformism, hence projecting a differing image from the one you want to convey.

It is entirely legal and fine to have tattoos. You are free to express yourself however you want. But you cannot expect it to be accepted the same way by everyone.

Lire la suite

Trucs & Astuces #379 - N’acceptez pas le changement!

Confrontés au changement, les individus adoptent différentes réactions. Lorsque le changement est perçu positivement, on l’adopte. Mais lorsque le changement est perçu négativement, on le résiste.

Ces résistances sont normales et inévitables, car nous sommes tous habitués à nos routines. Quand l’individu subit un changement et n’a aucune autre alternative que d’y répondre, peu à peu, il déploie des efforts pour l’accepter.

L’acceptation est pleine d’embûches et il faut s’en méfier car elle risque de nous faire sombrer dans la soumission et la résignation. La résignation et la soumission peuvent prendre différentes formes : maladie, burn-out, démotivation, dépression, démission… Elles sont l’expression de l’évitement, du dépassement et de l’impuissance. On se réfugie dans la passivité sans aucune énergie positive et on stagne.

Pour adopter sainement un changement, il faut être dans un état d’esprit ‘’Orienté-Solution’’. Cela requiert d’évaluer le changement, trouver un sens à ce qui nous arrive, prendre la décision de l’adopter, s’engager, s’en emparer en mobilisant nos énergies jusqu’à son appropriation.

L’appropriation est une véritable source de progrès, où l’on canalise ses forces afin de faire évoluer les choses. Lorsqu’on s’approprie du changement on discerne de la fierté, de l’espoir, de la satisfaction et on met en œuvre ses compétences volontairement afin de créer des nouvelles habitudes; des nouvelles routines.

N’acceptez pas le changement – appropriez-en vous!

Lire la suite

Tips & Co. #379 - Do not accept change!

Faced with change, people have different reactions. When change is perceived positively, it is welcomed. When change is perceived negatively, it is resisted.

Resistance is normal and inevitable because we are all set in our ways. When a person undergoes change and has no alternative but to respond to it, the person gradually strives to accept it.

Acceptance is full of pitfalls and we must be wary of acceptance because there is a risk of becoming submissive or resigned. Resignation and submission can take different forms: illness, burnout, lack of motivation, depression, quitting... They are the result of avoidance, of being overwhelmed and of powerlessness. We take refuge by becoming passive while lacking positive energy and we stagnate.

To accept change in a healthy way, one must be in a “solution-oriented” state of mind. One must assess the change, find meaning in what happens to us, make the decision to accept it, get involved, and seize the change by using our energy until we take ownership.

Ownership is a true source of progress, where we channel our strength to change things. When we take ownership of change, we feel pride, hope, and satisfaction and we use our skills voluntarily to create new habits as well as new routines.

Do not accept change - take ownership of it!

Lire la suite

Tips & Co. #378 - Formal vs. Informal

In the French language, using “vous” is a sign of politeness and respect. In general, we use this formal “code” (called Vouvoiement )on people we do not know, those we meet for the first time, people older than ourselves, customers ...

Phrases that use the formal “vous” are more cordial:

  • How may I help you…
  • I would suggest…
  • If I may…
  • I would recommend…
  • I thank you…
  • Have a nice day…

Using “vous” differentiates between our official and personal relationships. Think of it as respectful distance and a demonstration of your professionalism.

When we use “vous” with someone, we are indicating that we know the basics of respect and politeness.

Using the informal “tu” indicates closeness, more familiarity or intimacy and less formality in communication and topics of conversation. In general, young people, friends, and colleagues spontaneously use this informal “code” (called Tutoiment) amongst themselves, just like members of the same family.

If misused, “tu” can be interpreted as misplaced familiarity. When in doubt, use “vous”. The person you are talking to will ask you to use “tu” if they are not comfortable with the more formal language.

The golden rule is reciprocity, if the interlocutor uses informal language, then we adapt, and vice versa.

A compromise would be to keep the formal language, but accompany it with the name of the person to whom you are speaking.

If your habits, your education, or your culture make you hesitate to use informal language, formulate sentences that use neither formal nor informal language:

  • Can I help…
  • I suggest…
  • Let’s look at this together…
  • Thank you very much…
  • I have a question, how…?
  • Hello, how is it going?
  • Thank you and goodbye…

They are just as polite and respectful and you won’t feel awkward!

Lire la suite

Trucs & Astuces #378 - Vouvoiement et tutoiement

Dans la langue française, le vouvoiement est une démonstration de politesse et de respect. En général, on vouvoie les personnes qu’on ne connaît pas, celles qu’on rencontre pour la première fois, les personnes plus âgées que soi, les clients...

Les phrases en vouvoiement sont plus cordiales :

  • Comment puis-je vous aider …
  • J'aimerais vous suggérer …
  • Si vous me permettez …
  • J'aimerais vous proposer …
  • Je vous remercie …
  • Passez une belle journée …

Le voivoiment témoigne la différenciation entre nos relations officielles et personnelles. Considérez-le comme le synonyme de distance respectueuse et la démonstration de votre professionnalisme.

Lorsqu’on vouvoie quelqu’un, on envoie le signal qu’on connaît les codes élémentaires de respect et de politesse.

Le tutoiement marque plus de proximité, plus de familiarité ou d’intimité, moins de formalité dans la communication et les sujets de conversation. En général, les jeunes, les amis, les collègues se tutoient spontanément, tout comme les membres d’une même famille.

Si mal utilisé, le tutoiement peut être interprété comme une familiarité déplacée. Dans le doute utilisez le vouvoiement. La personne à qui vous parlez vous demandera de la tutoyer si elle n’aime pas se faire vouvoyer.

La règle d'or, c'est la réciprocité, si l'interlocuteur vouvoie, on s'adapte, et inversement.

Un entre-deux serait de conserver le vouvoiement, en l’accompagnant du prénom de la personne à qui on s’adresse.

Si vos habitudes, votre éducation ou votre culture vous font hésiter le tutoiement, formulez des phrases n’impliquant ni le vouvoiement ni le tutoiement :

  • Puis-je aider …
  • J'aimerais suggérer …
  • Regardons cela ensemble
  • Merci beaucoup …
  • J’aurais une question, comment … ?
  • Bonjour, comment ça va ?
  • Merci et aurevoir …

Elles sont tout autant polies et respectueuses sans ressentir de l’embarras!

 

Lire la suite

Trucs & Astuces #377 - Dire « NON » au client

Aucun client n’aime se faire dire « non ». Cependant, qu'on le veuille ou non, les circonstances poussent parfois à dire « non ». Par contre, cela n’a pas à devenir une situation négative.

Voici quelques façons de relever le défi :

Dites au client ce que vous pouvez faire.
« Je peux émettre une note de crédit pour la valeur de la marchandise et vous pourrez l'utiliser à votre convenance. »

Avec tact, expliquez pourquoi vous ne pouvez pas honorer la demande du client.
«Quand un produit fonctionne comme prévu, sans défaut, nous ne pouvons pas assumer la responsabilité et, en conséquence, nous ne pouvons pas offrir une compensation financière.»

Proposez une alternative.
« J'ai besoin d'obtenir l'approbation de mon directeur avant de pouvoir _________________. Ce que je peux faire entretemps, c'est ___________________. Cela vous convient-il? »

Mettez l’accent sur le positif.
« Je vous suis reconnaissant de m’avoir soumis votre problème » ou « Les informations que vous m'avez données nous aideront à apporter des améliorations. »

Rappelez-vous que vous dites « non » à la demande, pas à la personne.

Lire la suite

Tips & Co. #377 - Saying ‘NO’ to the customer

No customer likes to be told “no”. However, like it or not, the circumstances sometimes force us to say “no”. But, this does not have to become a negative situation.

Here are some ways to respond to the challenge:

Tell the customer what you can do.
“I can issue a credit for the value of the merchandise and you can use it at your convenience.”

With tact, explain why you cannot honour the customer's request.
“When a product works as expected, without defects, we cannot take responsibility and, as a result, we cannot offer financial compensation.”

Suggest an alternative.
“I need to get approval from my manager before I can _________________. In the meantime, I can ___________________. Does this work for you?”

Focus on the positive.
“Thank you for contacting me regarding this problem” or “The information you have given me will help us make improvements.”

Remember that you are saying “no” to the request, not to the person.

Lire la suite

L’IMAGERIE MENTALE : POUR LE DÉVELOPPEMENT ET L’INTÉGRATION DES « SOFT SKILLS »

Voici le deuxième des deux articles dédiés à l’imagerie mentale. Dans l’article précédent nous avons expliqué la technique et la façon dont elle contribue à la performance et au développement de l’intelligence émotionnelle. Cet article s’attardera sur le processus étape par étape afin de l’utiliser dans l’apprentissage et l’intégration des « Soft Skills » telles que la gestion des émotions, la gestion du stress, parler en public, l’adaptabilité, l’influence, la créativité, la gestion de conflits, etc.

Nous avons défini l’imagerie mentale comme étant une technique d’entraînement mental que les gens performants utilisent pour se préparer à l’action, répétant et entraînant leurs pensées, leurs sentiments et leurs comportements dans le but d'optimiser les performances et le bien-être. Bien qu'elle soit fréquemment utilisée pour améliorer les performances physiques, les activités qui incluent une composante cognitive et émotionnelle peuvent être améliorées avec l’imagerie mentale.

L’imagerie mentale est une excellente technique pour reprendre le contrôle, trouver un équilibre et renforcer notre endurance émotionnelle. Prendre du recul vis-à-vis ses émotions et les regarder en tant qu’observateur change la façon dont le cerveau traite les sentiments.

L’imagerie mentale étape par étape

Étape 1: Préparez-vous physiquement, émotionnellement et mentalement

L’imagerie mentale est bien plus productive lorsqu’on se trouve dans un état de grande disponibilité mentale. Assurez-vous de mettre de côté vos préoccupations courantes et éliminer les distractions afin de favoriser la création d'images et permettre de maximiser le potentiel du cerveau (ondes alpha : 15 fois plus d’apprentissage… En général, nous sommes en mode bêta).

Étape 2 : Faites un « Post-Mortem »

Un « Post Mortem » est un examen rétrospectif de l’événement ou de la situation que vous souhaitez changer ou améliorer. C’est l’occasion d’analyser vos performances passées et d’évaluer vos décisions et vos actions. Examinez la situation et passez en revue ce qui s'est produit. Demandez-vous:

  • Qu’est-ce que je trouve particulièrement difficile ou dérangeant?
  • Qu’est-ce qui est pour moi, source de tension, ou qui cause une réaction de ma part?
  • Qu’est ce qui se passe en moi?
  • Comment je réagis?
  • Est-ce que j’aurais voulu agir différemment?

La clé de cette technique réside dans la capacité de remettre en question vos réactions émotionnelles plutôt que de simplement les subir.

Étape 3: Imaginez mentalement la performance

À cette étape on se sert de la visualisation pour développer et élaborer des stratégies plus efficaces. Demandez-vous comment vous pouvez changer votre action, votre façon de penser, recadrer les situations – les voir différemment :

  • Comment aimerais-je agir?
  • Qu’est-ce que je voudrais dire?
  • Qu’est-ce que je pourrais faire pour garder mon calme la prochaine fois ?
  • Comment aimerais-je traiter la situation?
  • Qu’est‐ce que je ferai de différent la prochaine fois?

C’est l’étape pour imaginer les situations comme on voudrait qu’elles se réalisent – comment on souhaiterait atteindre nos objectifs.  De manière systématique, on se représente tous les éléments de l’activité, les étapes telles qu’elles doivent se dérouler ainsi que soi-même en train de surmonter les difficultés. Ces représentations mentales de la visualisation devront être au plus proche de la réalité.

La perspective est notre point de vue au cours de l'imagerie et elle peut être envisagée de deux façons :

  • Une perspective à la première personne (imagerie visuelle interne) : voir ce qu'on verrait si on vivait réellement l’action.
  • Une perspective à la troisième personne (imagerie visuelle externe) : regarder l'action de l'extérieur comme un observateur. De cette perspective on voit notre action sous plusieurs angles pour améliorer le traitement des détails pertinents.

Il n'y a pas de consensus sur la meilleure perspective. La première personne peut être préférable pour répéter des attitudes et des émotions ou pour répéter une stratégie. Une perspective à la troisième personne peut être adoptée pour réviser la forme lors de l’exécution d’une compétence technique. Les athlètes déclarent utiliser les deux en alternance.

Étape 4: Faites appel à tous les sens

La visualisation est certainement une partie importante de la méthode, mais l'image visuelle seule est limitative. Une kinesthésie, une émotion ou une sensation, est également nécessaire. Il faut imaginer une représentation mentale la plus juste et la plus précise possible, et ce dans toutes les dimensions. Ici, il s'agit de ressentir les sensations liées à votre visualisation: les émotions, les odeurs, les sons.

Les images kinesthésiques incluent l’évocation des sensations physiques que vous pourriez ressentir. Cela peut également inclure une prise de conscience des mouvements de votre corps ou les expressions de votre visage ou du positionnement dans l'espace. Les émotions sont également un élément important du ressenti d'une image et pour qu’une image soit réaliste, il faut recréer les émotions ressenties lors de l’activité. Répéter et développer les réactions émotionnelles que vous souhaitez ressentir lors d'une activité est une excellente cible pour l'utilisation de l'imagerie.

Étape 5: Représentez très en détail

Vivacité, exactitude et positivité. L'efficacité de la technique dépend aussi de la qualité des images produites. Les images mentales doivent être vivaces, c’est-à-dire claires et détaillées. Plus une image est nette et riche en détails plus elle est efficace.

D’autre part, les images mentales doivent être exactes c’est-à-dire refléter la réalité avec la plus grande précision possible. Il sera donc important d’imaginer autant de détails tels que : La physionomie des gens, la taille et le poids des objets, leur disposition, leur localisation, la distance qui les sépare, l’espace environnant…

Une autre chose à éviter lors de l'utilisation d'images est le langage négatif tel que « Ne pas faire ça …» ou «ne pas dire cela… ». Notre cerveau ne traite pas le langage négatif sans introduire ce que nous ne voulons ni voir ni faire. Concentrez-vous et utilisez des mots qui ne reflètent que ce que vous voulez faire.

Étape 6: Contrôlez et répétez

Les images doivent ensuite être contrôlées. Cela signifie être capable de construire des images soutenues aussi longtemps qu’on en a besoin et savoir les manipuler, les transformer, les faire évoluer et les ajuster en réponse à l'apprentissage afin de progresser. Cela concerne non seulement les aptitudes physiques, mais également les états psychologiques tels que la confiance et la motivation. Vous voulez contrôler votre image pour qu'elle réponde à vos attentes.

Un effet positif ne peut toutefois être atteint et maintenu sans une pratique régulière et assidue.  Les experts recommandent au moins trois fois par semaine la pratique de l'imagerie d’une durée optimale de 20 minutes.

Parfois, on peut être frustré par le manque de contrôle des images ou leur vivacité. Dans ce cas, il est important de se rappeler que l'imagerie est une compétence qui peut être développée, comme toute autre compétence avec une pratique soutenue. En sachant les résultats qu'on peut atteindre, on doit décider si on est prêt à s’investir afin de surmonter la frustration qui pourrait survenir en chemin.

À travers cet article, je souhaitais montrer que l’imagerie mentale n’est pas une approche réservée exclusivement aux athlètes de haut niveau et n’est pas, non plus, une approche ésotérique. Bien au contraire, c’est une préparation mentale scientifique qui contribue à la performance et à la maîtrise de nos compétences professionnelles. Quel que soit votre objectif, cette technique vous permet à la fois de vous ressourcer, de trouver des solutions, mais surtout, elle peut favoriser votre efficacité et votre bien-être en milieu de travail. Bon succès!

Lire la suite

MENTAL IMAGERY: TO DEVELOP AND INTEGRATE SOFT SKILLS

Here is the second of two articles about mental imagery. In the previous article we explained the technique and how it helps the performance and development of emotional intelligence. This article will focus on the step-by-step process for using it to learn and integrate "soft skills" such as controlling emotions, stress management, public speaking, versatility, influence, creativity, managing conflicts, etc.

We have defined mental imagery as a mental training technique that successful people use to prepare for action, repeating and training their thoughts, feelings, and behaviours in order to optimize performance and well-being. Although frequently used to improve physical performance, mental imagery can also enhance activities with a cognitive and emotional component.

Mental imagery is an excellent technique for regaining control, finding balance and strengthening our emotional stamina. Taking a step back from your emotions and seeing them as an observer changes the way the brain processes feelings.

Mental imagery, step-by-step

Step 1: Get ready physically, emotionally and mentally

Mental imagery is much more productive when you are in a state of great mental availability. Be sure to set aside your current concerns and eliminate distractions in order to help create images and maximize brain potential (alpha waves enable 15x more learning...whereas in general, we're in beta mode).

Step 2: Conduct a Post-Mortem   

A post-mortem is a retrospective review of the event or situation you want to change or improve. It is an opportunity to analyze your past performance and evaluate your decisions and actions. Examine the situation and review what happened. Ask yourself:

  • What did I find particularly difficult or disturbing?
  • What was the source causing my tension or reaction?
  • What happened inside of me?
  • How did I react?
  • Would I have wanted to act differently?

The key to this technique is the ability to question your emotional reactions rather than simply submitting to them.

Step 3: Mentally imagine the performance

in this step, visualization is used to develop and develop more effective strategies. Ask yourself how you could change your reaction, your thinking and to reframe situations – to see them differently:

  • How would I like to react?
  • What would I like to say?
  • What could I do to remain calm the next time this happens?
  • How would I like to handle the situation?
  • What would I do differently the next time?

It is the step in which to imagine situations as we would like them to happen - how we would like to achieve our goals. We review all the parts of the encounter in a systematic way, the steps that must take place as well as ourselves overcoming the challenges. These mental representations of visualization should be closer to reality.

Perspective is our point of view during imaging and can be considered in two ways:

  • A first-person perspective (internal visual imagery): see what we would see if we really experienced the action.
  • A third person perspective (external visual imagery): see the action from the outside as an observer. From this perspective we observe our action from several angles to improve how we handle the relevant details.

There is no consensus on which perspective is best. The first-person perspective may be better for repeating attitudes and emotions or for repeating a strategy. A third-person perspective may be use to revise the form when performing a technical skill. Athletes report using both alternately.

Step 4: Use all your senses

Visualization is certainly an important part of the method, but the visual image alone is limiting. A kinaesthetic, an emotion or a feeling, is also necessary. We must imagine the most accurate and precise mental representation possible in all dimensions. Here, it's about experiencing the feelings related to your visualization: emotions, smells, sounds, etc.

Kinaesthetic images involve re-creating the physical sensations you might feel. It may also include awareness of your body movements or facial expressions or your positioning in space. Emotions are also an important element of an image's feeling, and for an image to be realistic, you must recreate the emotions felt during the activity. Repeating and developing the emotional reactions you want to feel during an activity is an excellent reason for using imagery.

Step 5: Recreate in great detail

Intensity, accuracy and positivity. The technique’s effectiveness also depends on the quality of the images produced. Mental images must be vivid, that is, clear and detailed. The clearer and more detailed an image, the more effective it is.

On the other hand, mental images must be accurate, that is, they must reflect reality as accurately as possible. It is important to imagine as many details such as: the physiognomy of people, the size and weight of objects, their placement, location, the distance between them, the surrounding space, etc.

Another thing to avoid when using images is negative language such as "Don’t do that!" or "Don’t say that!” Our brains do not deal with negative language without introducing what we do not want to see or do. Concentrate, and use words that only reflect what you want to do.

Step 6: Control and repeat

The images must then be controlled. This means being able to build sustained images for as long as needed and knowing how to manipulate, transform, evolve and adjust them in response to learning in order to progress. This involves not only physical skills, but also psychological states such as confidence and motivation. You want to control your image so that it meets your expectations.

A positive effect cannot, however, be achieved and maintained without regular and diligent practice. Experts recommend practicing imaging for at least 20 minutes, at least three times a week.

Sometimes, we can become frustrated by the lack of control of the images or their intensity. In this case, it is important to remember that imaging is a skill that can be developed with sustained practice, just

like any other skill. Knowing the results we might achieve, we must decide if we are ready to invest in order to overcome the frustration that may occur along the way.

In this article, I wanted to show that mental imagery is not an approach exclusively for high performance athletes, nor is it an esoteric approach. On the contrary, it is a scientific mental preparation that helps perform and master our professional skills. Whatever your purpose, this technique helps you to relax and find solutions, but most importantly, it can improve your effectiveness and well-being in the workplace. Best of luck!

Lire la suite

Trucs & Astuces #376 - Courtoisie et respect en milieu de travail

Les bonnes manières sont-elles importantes au travail? Devrait-on vraiment s'attendre à ce que chacun soit poli tout le temps, ou les règles sont-elles flexibles pour des questions d'efficience et de productivité? Les réponses sont : oui, oui et non!

La plupart des gens n'ont pas l'intention d'être impoli ou peu courtois. La volonté d'être efficient et productif nous fait parfois oublier de prendre en considération l'impact de nos comportements sur nos collègues. Courtoisie et respect envers les autres devrait être un comportement de base en milieu de travail, indépendemment du poste, du titre, du stress ou des circonstances.

La courtoisie au travail ce n'est pas juste être sympathique, c'est aussi l'effet que vous avez sur le monde autour de vous. Ignorer ou être indifférent vis-à-vis de votre comportement finira par créer un environnement toxique et hostile dans lequel personne n'est heureux. Il n'y a aucune excuse à l'impolitesse au travail. Selon Ralph Waldo Emerson : "La vie est courte, mais elle nous laisse toujours du temps pour la courtoisie." . Prenez le temps. Soyez conscient de cela. Les résultats : une issue agréable pour tout le monde.

Lire la suite

Tips & Co. # 376 - Courtesy and Respect in the Workplace

Do good manners matter at work? Should you really be expected to be polite all the time, or can you bend the rules in the name of efficiency and productiveness? The answers are Yes, Yes and No!

Most people don’t intend to be rude or discourteous. In an attempt to be efficient and productive we sometimes forget to consider the impact of our behaviours on our colleagues. Courtesy and respect towards others should be standard behavior in the workplace, regardless of role, rank, stress or circumstances.

Demonstrating workplace courtesies is not about just being nice, it’s about the effect you have on the world around you. Being unaware or uncaring of your behaviour will eventually create a toxic and hostile environment where no one is happy. There's no excuse for discourtesy in the workplace. Ralph Waldo Emerson said, “Life is short, but there is always time enough for courtesy.” Take the time. Be mindful of it. The results—a pleasant outcome for everyone.

Lire la suite

Tips & Co. #375 - A different way to generate creative ideas when Brainstorming

Many of us have taken part in traditional "Brainstorming" sessions. These are commonly used to generate ideas, and to come up with a creative solution to problems. But you can push your brainstorming sessions a little further by trying this approach:

Reverse Brainstorming

Reverse brainstorming can be used to provide a different perspective on a particular problem. This method helps you to solve problems by combining brainstorming and reversal techniques. By combining these, you can extend your use of brainstorming to draw out even more creative ideas.

To use this technique, you start with one of two "reverse" questions: 

  • Instead of asking, "How do I solve or prevent this problem?" ask, "How could I possibly cause the problem?
  • And instead of asking "How do I achieve these results?" ask, "How could I possibly achieve the opposite effect?"

Reverse brainstorming tries to solve the problem in a reversed way to the flow we already now. The method can influence the human mind to create better ideas and solutions.

Lire la suite

Trucs & Astuces #375 - Une autre manière de générer des idées créatives lors de remue-méninges

Beaucoup d'entre nous ont pris part à des sessions traditionnelles de "remue-méninges". Celles-ci sont communément utilisées pour générer des idées et trouver des solutions créatives aux problèmes. Mais vous pouvez pousser vos sessions de remue-méminges un peu plus loin en utilisant l'approche suivante:

Remue-méninges inversé

Les remue-méninges inversés peuvent être utilisés pour apporter une perspective différente à un problème particulier. Cette méthode vous aide à résoudre des problèmes en combinant le remue-méninges et les techniques d'inversion. En faisant cette association, vous pouvez étendre votre utilisation du remue-méninges pour apporter des idées encore plus créatives.

Pour utiliser cette technique, commencez en posant l'une de ces deux questions "inversées":

  • Au lieu de vous demander: "Comment puis-je résoudre ou prévenir ce problème?", demandez-vous : "Comment provoquerais-je ce problème?"
  • Et au lieu de vous demander: "Comment puis-je atteindre ces résultats?", demandez-vous : "Comment pourrais-je obtenir l'effet opposé?"

Le remue-méninges inversé essaie de résoudre le problème dans le sens inverse que celui auquel nous sommes habitués. La méthode peut influencer l'esprit humain pour donner naissance à de meilleures idées ou solutions.

Lire la suite

By accepting you will be accessing a service provided by a third-party external to https://solutionsandco.com/

Les participants le disent…


« Vraiment une formation extraordinaire, et habituellement, je suis très critique! Tout le personnel devrait suivre cette formation, il y aurait un gain d’efficacité! »

Ville de Québec

Témoignages des participants

…et nos clients aussi!

« C’est avec un grand professionnalisme que l’entreprise a offert une formation attrayante et de qualité à nos employés. Nous sommes particulièrement satisfaits des résultats obtenus grâce à cette intervention et il nous fera plaisir de retravailler avec Solutions & Co. dans l’avenir. »

Xavier Aymé, Chef des opérations | Mercator Canada Inc.

Témoignages des clients

Prêt à passer à l’action?

Contactez-nous pour planifier votre formation