Maitrisez l’art de parler en public en acquérant davantage confiance en vous. Il n’y a pas de remède miracle, il faut bien se préparer à l’avance. Plus vous maîtrisez le fond, plus vous investissez vos énergies dans la forme.
Ne répondez pas à un coup de fil par un courriel. Ou à un courriel par un SMS. Ou à un SMS par un message sur un réseau social. Dans la hiérarchie des communications, il est préférable de répondre en utilisant un niveau d’intimité égal ou supérieur. Répondre par un niveau inférieur peut paraître impoli.
Le courriel, c’est bien pratique, mais attention : lorsque le sujet est important ou délicat, préférez la communication orale à la communication électronique. En vous cachant derrière le courriel, vous courez le risque que votre message soit ignoré ou mal interprété.
Vous vous trouvez dans une situation où échanger avec votre interlocuteur représente un DÉFI INTERCULTUREL? Faites ceci …
👉🏻 Définissez les faits et non votre perception des faits.
👉🏻 Analysez vos propres réactions et émotions. D'où proviennent-elles? De vos valeurs, croyances, de la façon dont VOUS voyez le monde?
👉🏻 Analysez les réactions et émotions de votre interlocuteur. D'où proviennent-elles? De ses valeurs, croyances, de la façon dont IL voit le monde.
👉🏻 Ensemble, cherchez un moyen d'engager une conversation qui vous aidera à valider/comprendre, pour trouver ensemble des solutions.
You are in a situation where exchanging with your interlocutor is an INTERCULTURAL CHALLENGE? Do this …
• Define the facts, not your perception of the facts.
• Analyze your own reactions and emotions. Where do they come from? From your values, beliefs, how YOU see the world?
• Analyze your interlocutor’s reactions and emotions. Where do they come from? From their values, beliefs, how THEY see the world.
• Together, look for a way to engage in a conversation that will help you validate/understand, finding solutions together.
Selon George Bernard Shaw, le principal problème de la communication est l'illusion qu'elle a eu lieu.
Très souvent, en matière de communication, une illusion s'est produite.
Rappelons-nous que la communication n’est pas ce qu’on dit, mais ce que l’autre comprend.
Et afin que notre message soit efficace, il faut assurer qu’il soit compris!
Ne blâmez pas l'autre personne de ne pas comprendre. Plutôt, cherchez des moyens de clarifier ou de reformuler ce que vous essayez de dire afin que votre message puisse être compris.
According to George Bernard Shaw, the main problem in communication is the illusion that it took place.
Very often, when it comes to communication, an illusion has occurred.
Let us remember that communication is not what we say, but what the other understands.
And for our message to be effective, we must ensure that it is understood!
Don't blame the other person for not understanding. Rather, look for ways to clarify or rephrase what you are trying to say so that your message can be understood.
Dans les environnements de travail à distance - où vous n'êtes généralement pas régulièrement exposés aux signaux de communication non verbaux des membres de l'équipe - il peut être facile de passer à côté des premiers signes d'un conflit.
L'une des façons les plus simples d'augmenter votre prise de conscience des frustrations des membres de l'équipe distante est de développer une compréhension de leurs habitudes de communication de base. L'ironie ou le sarcasme peuvent ne pas être inquiétants si tel est leur mode opératoire standard. Mais une négativité accrue provenant d'un travailleur généralement positif, en revanche, pourrait être préoccupante.
Ne laissez pas les problèmes tacites et les mauvaises situations persister. Si vous voyez ces types de changements ou d'autres signes de conflit potentiel, résolvez-les de manière proactive.
In remote work environments - where you are generally not regularly exposed to non-verbal communication signals from team members - it can be easy to miss the first signs of conflict.
One of the easiest ways to increase your awareness of the frustrations of your remote team members is to develop an understanding of their basic communication habits. Irony or sarcasm may not be of concern if this is their standard way of operating. But increased negativity from a generally positive worker, on the other hand, could be a concern.
Don’t let tacit problems and bad situations persist. If you see these types of changes or other signs of potential conflict, proactively resolve them.
When a customer thanks you for your service, avoid answering “No problem” …
Even if your intention is good, some customers may be offended.
They may wonder why there would be a problem if the task is simply part of your job. Are you suggesting that your customers could potentially be a nuisance or inconvenience?
Here are some alternatives for a good exchange of appreciation:
• “At your service.”
• “You’re very welcome.”
• “My pleasure.”
• “Glad I could help.”
Words are important!
Choose them carefully, especially when answering a “Thank you”.
Lorsqu’un client vous remercie pour votre service, évitez de répondre « Pas de problème »…
Même si votre intention est bonne, certains clients pourraient s’offenser.
Ils pourraient se demander pourquoi y aurait-il un problème si la tâche fait simplement partie de votre travail. Insinuez-vous que vos clients pourraient potentiellement être un ennui ou un inconvénient?
Voici quelques alternatives pour un bon échange d’appréciation :
✔️ « À votre service. »
✔️ « Je vous en prie. »
✔️ « Ça me fait plaisir. »
✔️ « Heureux d’avoir pu vous aider. »
🧨 Les mots sont importants!
🙏 Choisissez-les avec soin, surtout lorsque vous répondez à un « Merci ».
La communication efficace est une connexion entre les gens permettant l’échange de pensées, impressions, et idées, et amenant à une compréhension mutuelle.
Les gens ont une tendance à considérer la communication comme acquise. Mais en réalité, le processus de communication est très complexe. Pour améliorer l’efficacité de votre communication, prenez en considération ces principes de bases :
1. Le message envoyé n’est pas nécessairement le message reçu.
2. Il est impossible de ne pas communiquer.
3. Chaque message a, à la fois du contenu et des sentiments.
4. On croit plus les signaux non-verbaux et para-verbaux que les verbaux.
Quand les gens sont conscients de ces principes et appliquent cette information, ils diminuent considérablement le risque d’incompréhension et de conflit, et augmentent les chances d’une communication habile et réussie.
👉️ Pour en savoir plus consultez notre article «La communication n’est pas ce que l’on dit – mais ce que l’autre comprend»
Geert Hofstede, a social psychologist, defines culture as follows: “We are pack animals. We use language and empathy and work together and engage in competition as a group. The unwritten rules that govern these aspects differ from one group of humans to another. 'Culture' is how we describe this set of unwritten rules that defines how to be a good group member.”
Communicating with different cultures can be difficult. When we deal with people from unfamiliar cultures, it is easy to misinterpret meanings and intentions. This can lead to confusion, unhappiness and frustration. For communication to be successful, we need to understand the meaning and the intent of what the other person has said. The better one understands the influence of culture and its unwritten sets of rules, the more effective communication will be.
Être un bon communicateur est une compétence indispensable à tout individu qui souhaite atteindre ses objectifs dans un contexte professionnel. Pour engendrer la coopération, la collaboration, l'échange de connaissances et l'innovation, il ne suffit plus de savoir bien s'exprimer: il nous revient aussi de savoir bien communiquer. Or, bien communiquer exige de bien se connaître en tant que communicateur et de bien comprendre la dynamique d'une relation interpersonnelle.
Si nous souhaitons générer des relations professionnelles productives, il est impératif de comprendre chacun de nos interlocuteurs et de savoir composer avec leur style personnel de communication.
If you're seeking to create positive change in your work, it's almost certain you'll be creating discomfort as well.
Usually, when we want to suggest/impose/ apply something new, we say, "this is a great idea, this is going to make our work better, this is a better way of doing things."
What's a lot more difficult (but useful) is to say all of that plus, "and this is going to make (some) people uncomfortable."… and then have that conversation.
Lorsque nous voulons démontrer à un client que nous sommes activement à l’écoute, nous nous penchons vers l’avant, nous sourions, nous soutenons un contact visuel, nous acquiesçons, nous bougeons nos sourcils, nous imitons son expression. Ce sont tous des indices non-verbaux qui nous aident à démontrer que nous sommes engagés, intéressés et à l’écoute.
Mais que se passe-t-il lorsque le client est au téléphone? La plupart d’entre nous continuons inconsciemment de donner des indices non-verbaux (comme hocher la tête). Comme notre langage corporel ne peut être perçu, cela a souvent pour effet que le client nous demande « Êtes-vous toujours là? ». Cette question nous montre que le client doute que nous soyons toujours à l’écoute.
Essayez de remplacer votre langage non-verbal par des indices verbaux. Les indices verbaux sont ces énoncés qui prouvent que vous êtes toujours là, engagé : un « Je vois » occasionnel, « Bien », « Ah », « Oui », ou « D’accord ». Quelques mots simples aideront à ce que le client sente que vous écoutez et que vous êtes attentif.
Mais n’exagérez pas. N’utilisez pas ces interjections afin de remplir la conversation ou ne répétez pas le même mot sans fin. Ça devient un « tic verbal ».
En tant que membre d’une équipe, vous ne pourrez pas toujours faire les choses à votre façon. Beaucoup de gens laissent leur égo entraver le compromis, en le percevant comme une faiblesse, un scénario où une des parties ressort perdante, un abandon de principes et de valeurs ou un manque d’assurance.
En réalité, la capacité de faire des compromis est un acte de force et de confiance en soi, accompagné de la conviction que ce qu’on a à perdre n’est pas aussi important que ce qu’on a à gagner. Il ne s’agit pas de sacrifier à contrecœur, mais plutôt de renoncer de bon gré. Vous donnez un peu afin d’obtenir quelque chose de plus grand en retour. Il s’agit d’avancer sans hésitation.
Considérez pourquoi il serait requis d’exécuter les choses différemment de ce que vous aviez en tête. Soyez prêt à voir les mérites de ce qu’on vous propose et soyez ouvert à changer d’idée. Posez des questions afin de mieux comprendre le point de vue de l’autre ou la raison pour laquelle vous devriez faire les choses autrement.
- Parle-moi de ____.
- Pourquoi te sens-tu comme ça?
- Comment est-ce que je nuis à la performance de l’équipe?
- Comment pourrais-je le faire mieux?
- Aide-moi à mieux comprendre la situation.
Lorsque vous comprendrez mieux ce que vous avez à gagner (ou ce que vous devrez perdre), vous serez en meilleure position pour faire un compromis.
Lorsque vous faites des compromis avec vos collègues, vous donnez l’exemple en démontrant que l’équipe travaille ensemble et non chacun de son côté, ce qui en fait une situation gagnant-gagnant à tout coup.
Email seems to be the chosen professional tool of communication for most of us.
It gives us time to think. It’s quick and concise. And most importantly, there is written proof.
But even if it seems that phones are on the path to extinction, there are moments where they are still essential - especially if the issue is complex or the subject is uncomfortable.
When we communicate over the phone, we improve our chances of understanding each other (in comparison to email). Choose this communication channel if there are possibilities of misunderstanding or confusion.
If you need a written agreement (because writing remains), you can always send a recap email following the call. It will act as a second validation.
Interpersonal communication includes two dimensions: the explicit content dimension and the relational dimension that conveys meaning tied to the affective state of the interlocutors and their relationship.
To summarize:
The relational dimension of communication contains meanings that have as much weight and impact as the content of the message. These meanings are often expressed through non-verbal and para-verbal communication.
The essence of communication does not reside in the transfer of information from a transmitter to a receiver, but in the relational process and the results of the interaction.
Only taking the content dimension into account is like amputating the interaction from its essential meanings. «Communication» problems are rarely a simple misunderstanding about the content.
La communication interpersonnelle implique deux dimensions : la dimension du contenu explicite et la dimension relationnelle qui véhicule des significations liées à l’état affectif des interlocuteurs et leur relation.
En résumé :
La dimension relationnelle de la communication comporte des significations qui ont autant de poids et d’impact que le contenu du message. Ces significations passent souvent par la communication non-verbale et para-verbale.
L’essence même de la communication ne réside pas dans le transfert d’information d’un émetteur à un récepteur, mais plutôt dans le processus relationnel et les résultats de l’interaction.
S’en tenir uniquement à la dimension du contenu équivaut à amputer l’interaction de significations essentielles… Les problèmes de « communication » sont rarement une simple mésentente au sujet du contenu!
Ils peuvent vous supporter que si vous leur dîtes ce que vous pensez. Ne leur communiquez pas seulement des problèmes et des défis; suggérez-leur des solutions.
Votre discours affecte non seulement la manière dont les autres vous perçoivent, il a aussi le potentiel de façonner votre comportement. Selon le Professeur Bernard Roth, de l’Université Stanford, échanger un mot pour un autre pourrait faire toute la différence sur la façon dont vous approchez vos objectifs.
Voici deux de ses suggestions:
Ces deux ajustements sont basés sur un élément clé de la stratégie de résolution de problème appelée “le design de réflexion” (“design thinking” en anglais). Lorsque vous employez cette stratégie, vous vous efforcez de mettre à l’épreuve votre réflexion automatique et voyez les choses telles qu’elles le sont vraiment.
Et lorsque vous expérimentez ce nouveau vocabulaire, vous réaliserez peut-être que le problème n’est pas si impossible à résoudre qu’il le semble, et que vous avez plus de contrôle sur votre vie que vous le croyiez.
Des scientifiques du comportement ont découvert que l’espace communément accepté en termes d’espace personnel est de 2 à 4 pieds (60cm à 2m) pour la plupart des Nord-Américains afin d’être confortables, tandis qu’en Amérique Latine et au Moyen-Orient cette distance diminue jusqu’à moins d’un pied ou 2 (30 à 60cm).
Soyez conscient de cette différence culturelle pour vous-même, vos clients et vos collègues.